On pouvait le craindre, c’est arrivé. L’exercice télévisuel de la politique a bien montré, ce 4 avril, ses propres limites. Près de quatre heures d’antenne, pour onze candidats et un débat dont l’intérêt principal, soyons critique, fut le jeu des chronomètres et la piètre prestation des journalistes réduits au rôle de maitres des horloges. Une vérité que leur a d’ailleurs lancé Benoit Hamon, aux deux-tiers de l’opération.
Le premier débat avait été, d’un avis largement partagé, d’une bonne facture. Les propos (...)
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