Après Jacques Barrot, en 2002, qui envisageait de distinguer petits et gros risques dans la prise en charge par la sécurité sociale, le député socialiste Pascal Terrasse vient de jeter un pavé dans la mare, à l’occasion de Réavie en affirmant que l’on doit envisager de réserver la prise en charge des soins courants par les complémentaires, concentrant l’intervention de la Sécurité sociale aux pathologies lourdes.
A lire dans les colonnes de l’Argus de l’Assurance : (...)
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