Après avoir consacré un long chapitre "aux coûts imprévus de la mise en oeuvre de la loi du 21 août 2003, la Cour des comptes s’est penché sur les effets de l’allongement de carrière. Le constat est rude.
"S’il apparaît donc que la mise en oeuvre de la loi du 21 août 2003 a représenté un coût certain", écrit la Cour "l’augmentation de la durée d’assurance requise pour l’obtention du taux plein, qui devait permettre de maîtriser l’évolution des dépenses, n’a jusqu’ici pas eu l’effet escompté. Entre 2001 et (...)
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