Martine Aubry s’attaque à un tabou, l’âge de la retraite. La première secrétaire du parti socialiste évoque clairement, dans un entretien au Figaro, la remise en cause de cet âge légal en mentionnant 61 ou 62 ans, associé à une "retraite à la carte" incluant la prise en compte de la pénibilité et un financement élargi à d’autres bases que les seuls salaires.
Le bureau national du Parti socialiste devrait se réunir aujourd’hui pour aborder cette question.
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