C’est une décision qui risque de porter sur les nerfs des généralistes ! Dans un arrêt publié jeudi 31 mai, la Cour de cassation juge que la prescription d’un médicament assortie de la mention « non substituable » (NS, qui empêche la substitution générique à la pharmacie) doit pouvoir être « dûment » justifiée par le médecin prescripteur.
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