Complémentaires santé

Alors que les pouvoirs publics ont opté pour le déremboursement total de l’homéopathie, le courtier grossiste Alptis prend position en rappelant l’intérêt des médecines « douces » en complément de la médecine « classique ».
Le courtier est le premier acteur de la complémentaire santé à indiquer officiellement le maintien des remboursements après la période de transition. Pour rendre possible cela, il transfère la prise en charge vers une sur-complémentaire optionnelle commercialisée à partir de 5 euros. Les (...)

 
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    Alors que les pouvoirs publics ont opté pour le déremboursement total de l’homéopathie, le courtier grossiste Alptis prend position en rappelant l’intérêt des médecines « douces » en complément de la médecine « classique ».

    Le courtier est le premier acteur de la complémentaire santé à indiquer officiellement le maintien des remboursements après la période de transition. Pour rendre possible cela, il transfère la prise en charge vers une sur-complémentaire optionnelle commercialisée à partir de 5 euros. Les souscripteurs se voient proposer une prise en charge à 50% des frais réels.

    Il précise également la nécessité de mettre en place un modèle de gestion performant pour éviter l’accroissement des charges. En effet, les spécialités homéopathiques se caractérisent par un faible coût unitaire et un volume important. En outre, dès 2021, il ne pourra plus compter sur les flux assurance-maladie pour identifier la consommation homéopathique. Tout l’enjeu est donc de concevoir un système reposant sur une déclaration directe de l’assuré.

    Certains spécialistes verront certainement dans cette offre une illustration du débat sur la prise en charge au premier euro, qui existe pour certaines prestations sanitaires, mais qui n’avait pas vu d’application sur des postes aussi sensibles que la pharmacie.

    mm
  • Publié le 11 juillet 2019
  • Dépèche n°30338

pastille cfc

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