Hospitalisation

En réponse à la baisse des candidatures au concours d’entrée des instituts de formation des aides-soignants, et alors que leur rôle a été identifié par le rapport El Khomri comme central, Agnès Buzyn a annoncé, ce jour, une série de mesures pour valoriser ce métier. Suppression du concours d’aide-soignant. Remplacé par un système d’examen de dossier et d’entretien oral valorisant davantage les qualités attendues, notamment les qualités relationnelles, cette mesure s’appliquera dès septembre 2020, avec un (...)

 
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    En réponse à la baisse des candidatures au concours d’entrée des instituts de formation des aides-soignants, et alors que leur rôle a été identifié par le rapport El Khomri comme central, Agnès Buzyn a annoncé, ce jour, une série de mesures pour valoriser ce métier.

    • Suppression du concours d’aide-soignant. Remplacé par un système d’examen de dossier et d’entretien oral valorisant davantage les qualités attendues, notamment les qualités relationnelles, cette mesure s’appliquera dès septembre 2020, avec un mécanisme transitoire pour ne pas pénaliser celles et ceux qui préparent actuellement le concours
    • refonte de la formation initiale, qui passera de 10 mois à 12 mois, autour de nouveaux enseignements comme le repérage des fragilités, la prévention de la perte d’autonomie ou encore le raisonnement clinique en équipe pluri-professionnelle ;
    • pour répondre aux besoins de formation, les aides-soignants intervenant auprès des personnes âgées pourront bénéficier d’une nouvelle formation collective certifiante centrée sur les besoins des personnes âgées, d’une durée de 3 semaines ;
    • prévention de la sinistralité de ce métier avec la création d’un fonds national de prévention doté de 40 millions d’euros et la mise en place, sur les deux dernières années de carrière, d’un mi-temps payé à 75% et avec 100% de cotisation retraite grâce à l’appui du Fonds pour l’Emploi Hospitalier.
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  • Publié le 13 février 2020
  • Dépèche n°32102

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