Prévoyance

Alors que redémarrent les discussions autour de la santé au travail et que les partenaires sociaux entament une réflexion sur l’avenir du télétravail, le Comptoir de la nouvelle entreprise de Malakoff Humanis décrypte l’impact de la crise sur l’organisation du travail et la santé des salariés, à travers ses études Flash Télétravail et Absentéisme réalisées tous les mois depuis mars 2020.
Ainsi, sept salariés sur dix souhaitent et pensent que la crise va transformer profondément les modes de travail, et 84 % (...)

 
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    Alors que redémarrent les discussions autour de la santé au travail et que les partenaires sociaux entament une réflexion sur l’avenir du télétravail, le Comptoir de la nouvelle entreprise de Malakoff Humanis décrypte l’impact de la crise sur l’organisation du travail et la santé des salariés, à travers ses études Flash Télétravail et Absentéisme réalisées tous les mois depuis mars 2020.

    Ainsi, sept salariés sur dix souhaitent et pensent que la crise va transformer profondément les modes de travail, et 84 % des télétravailleurs déclarent vouloir continuer à télétravailler à l’issue du confinement. Un plébiscite qui ne doit pas occulter les risques liés à cette pratique dont la mise en place impose un encadrement et une vigilance en matière de santé notamment.

    27 % des télétravailleurs déclarent que le télétravail en période de confinement a eu un impact négatif sur leur santé physique. 44 % déplorent une baisse de leur pratique d’activités physiques, même si l’on constate une légère reprise (+ 5 points) depuis la vague d’avril. 45 % d’entre eux déclarent que le télétravail, dans cette situation particulière, a entrainé une dégradation de leurs postures de travail, et 25 % une dégradation de leurs pratiques alimentaires. Enfin 33 % évoquent un sommeil dégradé.

    La seconde partie de cette analyse concerne les arrêts maladie - dont 26 % en avril sont liés au Covid2 - et le report des soins durant le confinement (maladies chroniques, absence de dépistage…). Ces reports ainsi que l’augmentation des risques psychologiques liés au retour en entreprise (qui inquiète 56 % des salariés du secteur privé) et à l’utilisation des transports en commun (un motif d’inquiétude pour 40 % des salariés en Ile-de-France) pourraient avoir un impact sur les arrêts de travail.

    mm
  • Publié le 25 juin 2020
  • Dépèche n°33251

pastille cfc

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