Santé

Une enquête de l’UFC-Que Choisir menée auprès de 4654 personnes révèle l’ampleur alarmante du retard pris en matière de reprogrammation des soins à la suite du déconfinement.
Alors que les trois quarts des rendez-vous initialement prévus entre le 17 mars et le 11 mai ont été annulés, moins de 20 % avaient fait l’objet d’une reprogrammation au sortir du confinement.
En ce qui concerne les interventions en milieu hospitalier, l’association considère que la communication est trop souvent restée uniquement (...)

 
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    Une enquête de l’UFC-Que Choisir menée auprès de 4654 personnes révèle l’ampleur alarmante du retard pris en matière de reprogrammation des soins à la suite du déconfinement.

    Alors que les trois quarts des rendez-vous initialement prévus entre le 17 mars et le 11 mai ont été annulés, moins de 20 % avaient fait l’objet d’une reprogrammation au sortir du confinement.

    En ce qui concerne les interventions en milieu hospitalier, l’association considère que la communication est trop souvent restée uniquement administrative : seuls 13 % des patients ayant vu leur rendez-vous annulé ont pu avoir un contact direct avec leur chirurgien, pourtant le mieux à même de les informer sur les conséquences médicales de ce report.

    Pire, la gestion des besoins de soins apparus pendant le confinement a largement failli : 40 % des usagers qui ont estimé avoir besoin d’un rendez-vous auprès d’un spécialiste sans pouvoir attendre la fin du confinement sont restés sans solution.

    Face à l’ampleur et à la persistance de ce retard, l’association appelle le Ministre de la Santé ainsi que les agences régionales de santé « à organiser sans délai une parfaite coordination de tous les acteurs, notamment entre structures publiques et structures privées, afin d’accélérer le retour à la normale ».

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  • Publié le 7 juillet 2020
  • Dépèche n°33340

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