« Si la priorité est à la solidarité nationale en matière de dépendance, je ne crois pas que dans une société moderne, la solidarité aille jusqu’à prendre en charge la soupe et l’électricité » indiquait Philippe Bas en ouvrant le chapitre du rôle des complémentaires.
Pour le ministre, il convient de « permettre le développement d’une couverture complémentaire dépendance distribuée par les mutuelles, les institutions de prévoyance sociale ou les assureurs privés ». Relevant que 900 000 personnes ont souscrit des (...)