Contraindre les médecins à s’installer dans les zones délaissées est un combat perdu d’avance. Il serait plus judicieux de lancer un véritable plan de 50.000 infirmières de première ligne, pour convertir les déserts en oasis de santé sur la totalité du territoire national, estime Guy Vallancien.
Connectez-vous en utilisant ce formulaire.
Vous pouvez souhaiter :
L'auteur
Le contenu de cette dépêche est la propriété de son auteur et du Fil-Social. Toute reproduction, par tous moyens, est soumise à une déclaration auprès du Centre Français de la Copie.