« On est dans une situation curieuse. d’un côté il n’y a pas d’urgence absolue. En même temps nous savons tous que ça se dégrade et que plus nous attendons, plus ce sera dur », résumait Jean-Louis Malys, chef de file de la délégation CFDT à l’issue de la troisième séance plénière de négociation sur les régimes de retraite complémentaire Agirc et Arrco. Une séance en trompe l’œil puisque le patronat avait préalablement présenté en réunions bilatérales aux syndicats un projet affiné de décote provisoire et (...)
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