Dans leur rapport, l’Igas et l’IGF expliquent que les données transmises par les hôpitaux sur les bénéficiaires de l’AME ont permis, sur la période 2015-2018, de "détecter des atypies" dans certaines dépenses, et notamment une augmentation "particulièrement élevée" de certains types de soins. C’est un pavé dans la mare, susceptible de conforter le gouvernement à la veille des annonces sur sa politique (...)
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