En mettant en examen Agnès Buzyn, les magistrats de la CJR considèrent, de manière implicite, que les connaissances sur le Covid-19 étaient suffisantes en février 2020 pour permettre à l’ex-ministre de la Santé de prendre les mesures adéquates. Or, aucun consensus scientifique ne prévalait à l’époque, observe Laurent Cappelletti, professeur au CNAM.
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