L’augmentation de la part des dépenses de retraites et de santé dans le PIB peut laisser penser que notre système de protection sociale sacrifie la jeunesse au profit des plus âgés.
Si l’on regarde, en revanche, les dépenses dont chacun bénéficie au titre de la protection sociale, et si l’on y ajoute les dépenses publiques d’éducation, la générosité du système à l’égard des jeunes (moins de 25 ans) ne s’est pas autant affaiblie que les montants globaux pourraient le laisser penser.
L’augmentation de la part des dépenses de retraites et de santé dans le PIB peut laisser penser que notre système de protection sociale sacrifie la jeunesse au profit des plus âgés.
Si l’on regarde, en revanche, les dépenses dont chacun bénéficie au titre de la protection sociale, et si l’on y ajoute les dépenses publiques d’éducation, la générosité du système à l’égard des jeunes (moins de 25 ans) ne s’est pas autant affaiblie que les montants globaux pourraient le laisser penser.
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