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La nouvelle vague du Baromètre impact du confinement sur la consommation médicale (voir Fil-Social n°32930) initié par le courtier Gérep sur son portefeuille confirme une baisse des dépenses de santé de l’ordre de 30 % entre le 20 janvier et le 30 mai, et met en exergue une nette reprise de la consommation de soins depuis le 11 mai.
« La fin du confinement marque clairement un changement de tendance de la consommation médicale des Français. Après avoir connu une baisse de l’ordre de 70% lors de la (...)

 
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    La nouvelle vague du Baromètre impact du confinement sur la consommation médicale (voir Fil-Social n°32930) initié par le courtier Gérep sur son portefeuille confirme une baisse des dépenses de santé de l’ordre de 30 % entre le 20 janvier et le 30 mai, et met en exergue une nette reprise de la consommation de soins depuis le 11 mai.

    « La fin du confinement marque clairement un changement de tendance de la consommation médicale des Français. Après avoir connu une baisse de l’ordre de 70% lors de la période de confinement, les 3 premières semaines post confinement enregistrent une baisse de -6,3%  », explique le courtier, qui relève que la consommation est repartie dès la première semaine de déconfinement.

    Si en optique, le rebond est évident, c’est dans le secteur des prothèses dentaires que l’évolution est la plus marquée, retrouvant quasiment son niveau d’avant-crise. Les projections réalisées par le courtier lui permet de conclure que « la reprise semble être beaucoup plus rapide qu’escompté sur tous les postes étudiés ».

    Hors effet de rattrapage – le courtier rappelle que celui-ci n’est qu’à son commencement – l’impact annuel sur la consommation médicale serait de l’ordre de -11 %. Il suffirait donc d’un rebond massif pour que l’hypothèse d’une baisse globale des dépenses s’éloigne.

    Enfin, en prévoyance, Gerep constate une augmentation du nombre de déclaration d’arrêt de travail de 50% en mars et de 100% en avril par rapport à une moyenne mensuelle.

    Et les cotisations ? Pour le courtier, l’impact des deux mois de chômage partiel sur 50% des salariés, sur la baisse des cotisations prévoyance et frais de santé des OC collectives s’établirait à environ 300 M€ en prévoyance et 99 M€ en frais de santé.

    mm
  • Publié le 11 juin 2020
  • Dépèche n°33133

pastille cfc

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