Réagissant aux propos tenus par Elisabeth Borne, le 27 avril, devant les journaliste de l’information sociale, Philippe Mixe, président de la Fnim, répond : « Si on hurle, c’est parce que l’on a déjà très mal ».
Réagissant aux propos tenus par Elisabeth Borne, le 27 avril, devant les journaliste de l’information sociale, Philippe Mixe, président de la Fnim, répond : « Si on hurle, c’est parce que l’on a déjà très mal ».
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