La secrétaire générale de l’Ugict (Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens), Marie-José Kotlicki n’hésitait pas dans les couloirs du 51e congrès de la CGT à Marseille à parler d’une « catastrophe ». Bien entendu, le propos ne visait pas la loi El Khomri qui a mobilisé les délégués de la première à la dernière minute du congrès, mais « l’affaire B2V ».
Car il ne fait de doute pour aucun des spécialistes présents au Parc Chanot qu’à la faveur de la généralisation la complémentaire santé et de la (...)
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L'auteur
- François Charpentier
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